dimanche 26 avril 2015

44 # PHILOSONDE : le compte-à-rebours




Les espèces ne craignant pas la prédation sont extrêmement destructrices pour l'environnement à l'exception, peut-être,  du requin et de la contre-culture (pour ceux qui douteraient de ce que l'anarchie est une espèce dominante, mon témoignage de ce qu'en toute une vie de gentilhomme, je n'ai nullement le sentiment d'avoir jamais été dominé par la flicaille), l'éco-système qu'elles investissent prenant vite des allures appauvries d'égo-système ou de mono-système. Mais à la différence des maîtres de la mer, celui de la terre, Homo-Sapiens, semble fort heureusement entré dans une phase d'auto-destruction qui devrait à terme libérer de sa présence meurtrière la surface encore émergente des continents  : ouf, respirons... quoique très, très, TRÈS difficilement.